dimanche 22 juin 2008

De Lisbonne a Porto

Le beau cuisinier Slurp, miam, slurpMamichat Noel est arrivee
Tu pars avec nous ?
Lewes et Jane attendent le Porto et Chorizo


Le Monument des Decouvreurs
Le Monde est la
Centaure vu du haut du Monument
La Tour de BelemAie! J'ai une ampoule !
Le petit singe


La baigneuse
Les matelots
L'ecuyere
Le monastere de Jeronimos
Les petits Saints (hum)


A Lisbonne
Au chateau Sao Jorge
Electrico devant la Se
Le metro

Lisboa En route pour Porto Les dauphinsLes surfeurs
Porto
Glaces au Porto, euh, au citronPorto vu des caves

Un peu de morue ?A moins que vous ne preferiez du chorizo ?
Un petit cafe ?
Maman repart mordue

Nous sommes accueillis par un super barbecue à Alges. Le cuistot a une drôle de tenue mais la cote de bœuf est excellente, on passera sur cet excentrique ! Pour une fois, ce n’est pas la caipirinha qui coule à flot mais le champagne, slurp, c’est pas mal non plus. Alice et Arnaud sont tout excités de jouer avec Ariane. Jean-Louis entraîne Thierry sur la mauvaise pente en le faisant naviguer sur Centaure, un Surprise brestois importé à Cascais. Ils remontent le Tage jusqu’à Belem. Thierry apprécie la vitesse de ce petit bateau. Tiens tiens, c’est pas mal un voilier un peu fun comme ça. Il faudra y songer ! On pourrait défier les Pogo 8,50 ! Jane nous fait goûter les prego de picanha, des sandwichs à la viande, trop bons !
Mamichat arrive à Lisbonne et nous lui faisons découvrir cette belle ville. A nous, Castelo Sao Jorge, le quartier du Rossio et le fameux electrico. On craque pour des pasteis de Belem...Mais, on les vaut bien ! Nous découvrons le métro Lisboète pour aller au méga centre commercial Colombo. Nous y trouvons le cadeau de la fête des Pères : un Monopoly portugais où la rue de la Paix est le Rossio, la gare de l’Est est la estacion de Sao Bento de Porto.
Lors des matchs de l’Euro 2008, les rues s’enflamment, les drapeaux portugais s’agitent aux fenêtres et lorsque le Portugal marque, aie aie aie, ce ne sont que vivas qui font vibrer les murs. Les portugais défilent avec des perruques sur la tête, les joues maquillées de rouge et vert. Des écrans géants sont installés sur les grandes places pour regarder les matchs.
Après un épisode de vent fort, nous partons pour Porto. C’est un peu triste de quitter les amis, mais on se reverra bientôt.
La navigation est excellente, le vent du nord n’est pas fort (sauf au passage du Cap Raso), le solent ne sort qu’une demie heure !! Les dauphins nous accompagnent régulièrement. La mer est couverte de casiers, même par 80 mètres de fond. Alors, devinez ? Eh oui, en pleine nuit, paf, un casier dans l’hélice, un ! Si au moins on pouvait les récupérer. Prendre les crabes ou poissons qu’il y a dedans, mais non !! Thierry doit plonger dans l’eau glacée à 4 heures du mat pour dégager notre arbre d’hélice. Du coup, une veille permanente est assurée pour surveiller les fichus drapeaux.
Malgré cet intermède malheureux, nous sommes super contents de la navigation. La mer était assez plate, juste quelques belles houles de temps en temps.
Nous arrivons à 1 heure du matin à Porto le 20. Sous une petite brume et crachin limite brestois (!!) et nuit noire pour cause de ciel plombé. Dommage, c’est la pleine lune. La Marina est toujours aussi accueillante. Il manque juste Moana et Philovent !!
Nous allons profiter de la plage et de la mer. Quoique le drapeau soit jaune puis rouge. Les vagues sont grosses et entraînent vers le large. Il n’y a que des surfeurs dans l’eau. Le maître nageur surveille Alice et Arnaud qui s’amusent avec le bodyboard. Mamichat, elle, teste la machine à laver...Tiens c’est pas son pied qui dépasse de l’écume ?? Elle revient au bord à 4 pattes, la moitié du sable de la plage dans les cheveux.
Ensuite, nous allons visiter Porto en tramway. Evidemment, on boit du Porto, alors tu préfères le rouge ou le blanc ? On déguste des sardines grillées. Et on ne coupe pas à la glace le long du Douro. Ca monte, ça descend, on est bien contents de rentrer au bateau, boat sweet boat !
Mamichat prendra l’avion le 24. Nous partirons pour Viana do Castello le lendemain. Il nous reste 500 milles jusqu’à Brest. On se sent presque à la maison. Surtout depuis deux jours, il crachine et il y a de la brume, ça sent la maison !!

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Salut les navigateurs, c'est chouette de lire de vos nouvelles. Après Cascais, nous sommes montés d'une traîte au Cap Finistere. On a échappé aux filets (une chance car on ne les a pas trop surveillé) et sommes arrivé ce matin à Capbreton. Bon retour chez vous! Au fait, on a testé le pain à la poelle... super! Cédric et Alain sur Lou Taï.