Une navigation plutôt sportive (hum) nous attend. Cela commence dès la sortie du port, une houle de 2 mètres nous cueille. Beuh, à 6h30 du mat c’est pas terrible. On se rassure, « c’est sans doute local ». Le vent est bien du nord, donc dans le nez. La houle ne tombe pas, au contraire. Le solent est envoyé, ramené, renvoyé...La bande anti UV du génois se déchire lors d’un virement de bord...le vent monte encore, on se fait doucher, on fait du près, on vire de bord, on se fait doucher, on vire de bord...Les enfants très zen regardent un DVD !!
Bref, un genre de navigation qui n’en finit pas jusqu’à ce que la bouée soit passée et qu’on puisse abattre « aaaahhhh !!!! ». Pour faire nos malheureux 30 milles (distance que j’avais eu le tort de qualifier de rien du tout, la veille de partir !), nous avons mis 11 heures.
Nous trouvons une jolie bouée au Royal Yacht Club de Bayona. Et on s’est couché de bonne heure ! Le lendemain, sur les fichiers météo de la Marina, nous constatons que la journée d’hier était affichée « nearly gale », hum...Nous confions notre génois au Royal Club qui se charge de l’amener à Vigo chez le voilier. C’est bien pratique de parler la langue.
Bref, un genre de navigation qui n’en finit pas jusqu’à ce que la bouée soit passée et qu’on puisse abattre « aaaahhhh !!!! ». Pour faire nos malheureux 30 milles (distance que j’avais eu le tort de qualifier de rien du tout, la veille de partir !), nous avons mis 11 heures.
Nous trouvons une jolie bouée au Royal Yacht Club de Bayona. Et on s’est couché de bonne heure ! Le lendemain, sur les fichiers météo de la Marina, nous constatons que la journée d’hier était affichée « nearly gale », hum...Nous confions notre génois au Royal Club qui se charge de l’amener à Vigo chez le voilier. C’est bien pratique de parler la langue.
Lundi 30, nous sommes toujours a Bayona, il fait beau mais une grosse houle est annoncee et nous n'avons pas encore recupere le genois. Nous ne savons pas encore quand nous partirons.