jeudi 30 août 2007
lundi 27 août 2007
A Porto Santo, il y a des cactus !!!
Nous voilà revenu sur la superbe île de Porto Santo. Cette fois ci, c'est un peu moins idyllique (sauf la première journée, où le sable est tellement chaud, qu'on est obligé de marcher en tongs). Le temps est beaucoup plus incertain, nous mouillons dans le port, et la nuit, il y a des rafales à 45 nds...Heureusement, Thierry a plongé pour prendre un corps mort en plus de l'ancre. Les trajets en annexe pour débarquer se font au moteur (ha ha ha, je te l'avais bien dit qu'il serait utile !). Nous avons un contact iridium avec Moana pendant leur traversée de Lisbonne à içi. Nous en profitons pour commencer les cours du CNED, et Arnaud a reçu son Picsou Mag.
Nous marchons, escaladons, rencontrons de nouveaux amis, comme "Summer Wine" un bateau anglais, Mike et Ilona, le papa et la maman, et Laurie et Finley, les deux garçons de 10 et 9 ans, et la chatte Cléo ! Leur projet est d'aller en Nouvelle Zélande, maximum respect !
Bon bon, bon, on va pas faire les difficiles car l'eau est à 23°, le sable est chaud et de temps en temps, il y a du soleil. En plus, pour ne rien gacher, il y a des douches près de la plage ("oh, maman, tu avais dit que la douche se serait un jour sur deux!"). Force est de constater, en se regardant dans un vrai miroir que "dis donc, je suis carbonisée du visage, moi".
On est super contents, quand un matin, on voit Moana derrière nous. Les enfants sont méga heureux de se retrouver, cela faisait tellement longtemps (une semaine !). On subit un forcing pour l'Afrique "tu sais, tu trouveras des médicaments pour le palu à Madère", "A Dakar, il y a des supers tissus", scrogneugneu !!
Après quelques bonnes glaces, cervejas, baignades, chips et piques niques, et peinture sur le quai, nous partons pour Madère, vent dans le c.., euh, de derrière, sous spi
samedi 18 août 2007
En allant à Porto Santo
Porto – Porto Santo / du 9 au 13 août / miles / record de 160 miles en 24 heures
Navigation super chouette, bien qu’un peu fatigante. Nous avons du vent de Nord Ouest au lieu du Nord Est annoncé (mais bon c’est bien aussi), on fait beaucoup de spi, il y a un peu de houle. Au départ, on est un peu grinch’, on part tout seuls, Moana et Philovent partant pour Lisbonne le même jour. Mais bon, la nuit (comme par hasard), on a la visite de jolis cargos et de bateaux de pêche, au départ, on est un peu stressé de les voir, mais une fois qu’on a compris leur sens de navigation, on est contents « Ah, on est pas tout seuls sur mer ! ». Le ciel étoilé magnifique de la première nuit devient un beau souvenir car les nuits suivantes sont nuageuses « est ce que quelqu’un peut rallumer les étoiles, s’il vous plait ? ». Finalement, l’île est en vue, et on se réjouit tous de la journée du lendemain « dis maman, on pourra aller au restau, je rêve de manger des frites et du steak haché ? », « tu crois que le colis de Mamicha est arrivé ? J’ai trop envie de mon Picsou Mag ? »...
Navigation super chouette, bien qu’un peu fatigante. Nous avons du vent de Nord Ouest au lieu du Nord Est annoncé (mais bon c’est bien aussi), on fait beaucoup de spi, il y a un peu de houle. Au départ, on est un peu grinch’, on part tout seuls, Moana et Philovent partant pour Lisbonne le même jour. Mais bon, la nuit (comme par hasard), on a la visite de jolis cargos et de bateaux de pêche, au départ, on est un peu stressé de les voir, mais une fois qu’on a compris leur sens de navigation, on est contents « Ah, on est pas tout seuls sur mer ! ». Le ciel étoilé magnifique de la première nuit devient un beau souvenir car les nuits suivantes sont nuageuses « est ce que quelqu’un peut rallumer les étoiles, s’il vous plait ? ». Finalement, l’île est en vue, et on se réjouit tous de la journée du lendemain « dis maman, on pourra aller au restau, je rêve de manger des frites et du steak haché ? », « tu crois que le colis de Mamicha est arrivé ? J’ai trop envie de mon Picsou Mag ? »...
Porto
Porto
Nous prenons le métro pour aller au cœur de la vieille ville traversée par le Douro. Bien sûr, on ne résiste pas à une petite dégustation...Nous sommes au port de plaisance, pas très loin des raffineries de pétrole, et le pont se couvre d’une poussière marron assez dégoûtante.
Mais bon, Porto reste une ville, bruyante, animée, pleine de boutiques, et vraiment tout cet urbs c’est fatigant à la longue, n’est ce pas Capitaine ?!
Au sortir d’une réunion météo à bord de Moana, l’équipage de Spicy décide de ne pas aller à Lisbonne (après tout Jane est rentrée en France pour les vacances). Ca nous prend comme ça, d’un coup, allez zou, demain on part pour Porto Santo. Soyons fous et chamboulons notre programme !!
Nous prenons le métro pour aller au cœur de la vieille ville traversée par le Douro. Bien sûr, on ne résiste pas à une petite dégustation...Nous sommes au port de plaisance, pas très loin des raffineries de pétrole, et le pont se couvre d’une poussière marron assez dégoûtante.
Mais bon, Porto reste une ville, bruyante, animée, pleine de boutiques, et vraiment tout cet urbs c’est fatigant à la longue, n’est ce pas Capitaine ?!
Au sortir d’une réunion météo à bord de Moana, l’équipage de Spicy décide de ne pas aller à Lisbonne (après tout Jane est rentrée en France pour les vacances). Ca nous prend comme ça, d’un coup, allez zou, demain on part pour Porto Santo. Soyons fous et chamboulons notre programme !!
Navigation vers Porto
Navigation entre Bayona et Porto/ 6 août / 60 miles / 11h30 de navigation, dont 9 sous spi !
Nous avions prévu de lever l’ancre à 4 heures du matin mais brouillard aidant, nous nous sommes recouchés (feignasses !!). On a remis le réveil à sonner pour 6 heures, toujours du brouillard et, oh zut, Moana n’est plus là mais Philovent si...A 7h30, toujours de la brume. Qu’est ce qu’on fait ? L’Amiral : « Ecoute, c’est dimanche, il va y avoir des tas de jetskis et autres engins à circuler aujourd’hui ici, franchement, moi j’irai bien. L’autre jour, on est partis de Muros c’était pas top non plus et on a eu raison », le Capitaine « on va appeler Moana pour voir où ils sont et quel temps ils ont »...En fait, Moana est bien parti à 4h mais a remouillé trois mètres plus loin car le brouillard était trop dense. Et, ils sont juste en train de remonter leur ancre pour partir.
Finalement, on part aussi et la brume se dissipe au fur et à mesure. Au départ, pas trop de vent, blang blang fait la grand voile...Puis, un petit vent du nord est se lève et on gonfle le spi, le soleil sort ses rayons et zouh on fonce à 6,5 nds. On a Moana devant et Philovent derrière (réveil en douceur puis départ sur les chapeaux de roue pour nous rattraper).
Superbe navigation...Moi, je suis perdue dans mon Harry Potter...Désolée Capitaine mais aujourd’hui, je suis off !!
Pour information, le lendemain de notre arrivée à Porto, il y a un coup de vent. Oui, exactement où nous sommes. Alors, on dit un grand merci à Yannick pour ses excellentes informations météo et son sens de la persuasion « il faudrait partir demain, ensuite le vent sera plus fort, environ 30 nds, et quitte à rester coincés quelque part, autant que ce soit à la marina de Porto où il y a des trucs à faire »...
Nous avions prévu de lever l’ancre à 4 heures du matin mais brouillard aidant, nous nous sommes recouchés (feignasses !!). On a remis le réveil à sonner pour 6 heures, toujours du brouillard et, oh zut, Moana n’est plus là mais Philovent si...A 7h30, toujours de la brume. Qu’est ce qu’on fait ? L’Amiral : « Ecoute, c’est dimanche, il va y avoir des tas de jetskis et autres engins à circuler aujourd’hui ici, franchement, moi j’irai bien. L’autre jour, on est partis de Muros c’était pas top non plus et on a eu raison », le Capitaine « on va appeler Moana pour voir où ils sont et quel temps ils ont »...En fait, Moana est bien parti à 4h mais a remouillé trois mètres plus loin car le brouillard était trop dense. Et, ils sont juste en train de remonter leur ancre pour partir.
Finalement, on part aussi et la brume se dissipe au fur et à mesure. Au départ, pas trop de vent, blang blang fait la grand voile...Puis, un petit vent du nord est se lève et on gonfle le spi, le soleil sort ses rayons et zouh on fonce à 6,5 nds. On a Moana devant et Philovent derrière (réveil en douceur puis départ sur les chapeaux de roue pour nous rattraper).
Superbe navigation...Moi, je suis perdue dans mon Harry Potter...Désolée Capitaine mais aujourd’hui, je suis off !!
Pour information, le lendemain de notre arrivée à Porto, il y a un coup de vent. Oui, exactement où nous sommes. Alors, on dit un grand merci à Yannick pour ses excellentes informations météo et son sens de la persuasion « il faudrait partir demain, ensuite le vent sera plus fort, environ 30 nds, et quitte à rester coincés quelque part, autant que ce soit à la marina de Porto où il y a des trucs à faire »...
Bayona
Bayona / 2 août 2007
Nous avons pris une bouée au Club nautique très select, où le parking regorge de Mercedes, BMW et compagnie. La plage est sympa et la ville, avec ses rues piétonnes est très agréable. Mais bon, certain (suivez mon regard) dirait que c’est encore trop urbain à son goût. Passons...Le château et ses remparts s’éclairent la nuit et c’est assez féerique.
L’évènement majeur de cette escale est l’anniversaire de Claudie. Suivi par une superbe soirée festive dans les rues.
Nous avons pris une bouée au Club nautique très select, où le parking regorge de Mercedes, BMW et compagnie. La plage est sympa et la ville, avec ses rues piétonnes est très agréable. Mais bon, certain (suivez mon regard) dirait que c’est encore trop urbain à son goût. Passons...Le château et ses remparts s’éclairent la nuit et c’est assez féerique.
L’évènement majeur de cette escale est l’anniversaire de Claudie. Suivi par une superbe soirée festive dans les rues.
vendredi 3 août 2007
De Finistère en Finisterre
Voilà 15 jours que nous sommes partis de Loctudy. 15 jours seulement, mais qui nous paraissent le double. Nous avons traversé le Golfe de Gascogne avec des conditions de demoiselle : peu de vent, une mer belle et du soleil...juste une petite averse pour nous rafraîchir ! Et puis, nous avons vu des baleines, des dauphins et des étoiles filantes. Ensuite, nous avons découvert une petite partie de la Galice. Très surprenante avec ses hautes montagnes hérissées d’éoliennes, ses forêts de pins et d’eucalyptus bordants les plages. La navigation dans cette zone n’a pas été vraiment facile, avec beaucoup de houle (parfois 3 mètres), peu de vent (et la voile qui claque), ou vent de face. Aujourd’hui, nous sommes à Baiona, dernière escale en Espagne continentale...Demain, nous attaquerons la côte portugaise, toute droite, qui semble bien inhospitalière...
Les iles Cies
LES ILES CIES
Atteintes après 12 heures de près serré / 45 miles
Les îles Cies au large de Vigo sont un petit paradis. Étonnements préservées, elles nous enchantent, elles ont un petit goût des îles vers lesquelles nous allons : plage dorée cernées de rochers, eau turquoise, soleil...On se laisse aller à la rêverie. C’est la cerise sur le gâteau après une navigation au près serré sous une couche de nuage et de brume. On y retrouve Moana, qui nous invite, merci encore, à dîner. Philovent, parti en même temps que nous de Muros, est arrivé deux heures auparavant et a déjà commencé la mise à sac de l’île ;-) Nous montons au phare et la vue est superbe, enfin, serait superbe s’il n’y avait pas toute cette brume ! L’eau est à 19°, glagla !! Mais c’est trop bon. Alice va se transformer en sirène, elle passe le tiers de ses journées dans l’eau...Arnaud, lui, se spécialise dans la réalisation de radeau avec son copain Matthéo...Futurs constructeurs nautiques sans doute !
Atteintes après 12 heures de près serré / 45 miles
Les îles Cies au large de Vigo sont un petit paradis. Étonnements préservées, elles nous enchantent, elles ont un petit goût des îles vers lesquelles nous allons : plage dorée cernées de rochers, eau turquoise, soleil...On se laisse aller à la rêverie. C’est la cerise sur le gâteau après une navigation au près serré sous une couche de nuage et de brume. On y retrouve Moana, qui nous invite, merci encore, à dîner. Philovent, parti en même temps que nous de Muros, est arrivé deux heures auparavant et a déjà commencé la mise à sac de l’île ;-) Nous montons au phare et la vue est superbe, enfin, serait superbe s’il n’y avait pas toute cette brume ! L’eau est à 19°, glagla !! Mais c’est trop bon. Alice va se transformer en sirène, elle passe le tiers de ses journées dans l’eau...Arnaud, lui, se spécialise dans la réalisation de radeau avec son copain Matthéo...Futurs constructeurs nautiques sans doute !
Muros
Départ de Camarinas le 28 juillet à 9h00 / Arrivée à Muros le même jour à 17h15
Navigation avec beau coup de houles au départ, puis on arrive à envoyer le spi. Nous passons le cap Finisterre et d’un coup, le thermomètre grimpe de 5 ° et les nuages disparaissent ! Nous pêchons 10 maquereaux.
MUROS
Mouillage urbain par 15 mètres. Le Capitaine psychote un max sur la tenue du mouillage. Est-ce qu’on ne va pas chasser ? Ce n’est pas terrible en ville de se baigner. On débarque et visite cette charmante petite ville avec ses maisons à arches et ses petites chapelles. Ravissant.
Le 29 juillet, le Capitaine relève l’ancre « ho hisse », et nous allons dans la baie de Bornalle trouver une petite crique fort sympathique. Il fait tellement soleil que nous installons le taud, vieille voile découpée. Dans l’après midi, nous sommes rejoints par Moana, Philovent et Amadeus 3 (un 50 pieds de Saint Malo, avec Mamie et Papi et leurs deux petits enfants Arthur (9) et Adèle (7)).
Encore un anniversaire à fêter, celui de Robinson, qui souffle ses 11 bougies !
Les enfants sont super heureux de recevoir des dessins, des petits cadeaux, des bonbons, de leurs nouveaux copains.En soirée, nous voyons une troupe de dauphins s’amuser à 100 mètres du bateau.
Camarinas
Départ de Laxe le 27 juillet 7h45 / Arrivée Camarinas le même jour à 13h00
1h15 de moteur seulement !
Camarinas est une belle ria, la ville en elle-même n’est pas exceptionnelle. Nous fêtons l’anniversaire de Nolwenn sur la plage, 7 ans en Espagne...Le soir, nous avons une sardine partie au bar du club nautique assez exceptionnelle.
1h15 de moteur seulement !
Camarinas est une belle ria, la ville en elle-même n’est pas exceptionnelle. Nous fêtons l’anniversaire de Nolwenn sur la plage, 7 ans en Espagne...Le soir, nous avons une sardine partie au bar du club nautique assez exceptionnelle.
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