Départ de Madère, par vent faible et mer plate, le 3 septembre, arrivée le 5, après 55 heures de navigation.
Graciosa la bien nommée, une île désertique, couverte de sable (d’ailleurs, il n’y en a pas que là, allez jeter un œil dans la cabine d’Arnaud !) et de volcans. C’est l’enfer !! Il fait chaud, la température de la mer est de 23° sous la quille et 26° au bord de la plage...On est mouillé par 5 mètres et on se croirait à Océanopolis! Les poissons multicolores sont là, autour de nous (mais bizarrement, ils détalent dès qu’on sort le fusil !). Le petit village ressemble à un village typique de Sergio Leone, des rues en sable, des maisons blanches et des Canariens bien bronzés. Par contre, le prix des fruits et légumes donne envie de devenir carnivores !
Au mouillage, il y a quelques voiliers, dont une famille australienne avec 3 enfants. On fait vite connaissance autour d’un barbecue (merci à Chaz d’avoir été séduire les pêcheurs locaux avec des bouteilles de vins australien, car avec notre pêche miraculeuse : un poisson de Philovent, on serait en train de griller des saucisses en boîte et manger des chips, au lieu de quoi, on a pu griller un seau de sardines).
Comme d’habitude, on escalade les sommets, on pique nique et on passe du temps dans l’eau. Le petit gréement de planche est de sortie pour les enfants, et les premiers bords sont tirés pour les Philovent. Pour le moment, nous sommes toujours le quatuor : Moana, Philovent, Summer Wine et Spicy. Mais, mais, mais...Il va falloir décider de nos escales, « allons nous, oui ou non, à Dakar ? » Nous serions les seuls à ne pas y aller...Dommage pour les enfants qui s’amusent tellement ensemble. Pour les parents aussi d’ailleurs ! Du coup, j’en viens presque à regretter de ne pas avoir contacté Voiles sans Frontières, car aller à Dakar les mains vides, c’est un peu ballot, du coup. Bref, c’est le grand mystère, c’est l’angoisse et des nuits blanches :"Y aller ou ne pas y aller, telle est la question !!!"
Graciosa la bien nommée, une île désertique, couverte de sable (d’ailleurs, il n’y en a pas que là, allez jeter un œil dans la cabine d’Arnaud !) et de volcans. C’est l’enfer !! Il fait chaud, la température de la mer est de 23° sous la quille et 26° au bord de la plage...On est mouillé par 5 mètres et on se croirait à Océanopolis! Les poissons multicolores sont là, autour de nous (mais bizarrement, ils détalent dès qu’on sort le fusil !). Le petit village ressemble à un village typique de Sergio Leone, des rues en sable, des maisons blanches et des Canariens bien bronzés. Par contre, le prix des fruits et légumes donne envie de devenir carnivores !
Au mouillage, il y a quelques voiliers, dont une famille australienne avec 3 enfants. On fait vite connaissance autour d’un barbecue (merci à Chaz d’avoir été séduire les pêcheurs locaux avec des bouteilles de vins australien, car avec notre pêche miraculeuse : un poisson de Philovent, on serait en train de griller des saucisses en boîte et manger des chips, au lieu de quoi, on a pu griller un seau de sardines).
Comme d’habitude, on escalade les sommets, on pique nique et on passe du temps dans l’eau. Le petit gréement de planche est de sortie pour les enfants, et les premiers bords sont tirés pour les Philovent. Pour le moment, nous sommes toujours le quatuor : Moana, Philovent, Summer Wine et Spicy. Mais, mais, mais...Il va falloir décider de nos escales, « allons nous, oui ou non, à Dakar ? » Nous serions les seuls à ne pas y aller...Dommage pour les enfants qui s’amusent tellement ensemble. Pour les parents aussi d’ailleurs ! Du coup, j’en viens presque à regretter de ne pas avoir contacté Voiles sans Frontières, car aller à Dakar les mains vides, c’est un peu ballot, du coup. Bref, c’est le grand mystère, c’est l’angoisse et des nuits blanches :"Y aller ou ne pas y aller, telle est la question !!!"